L’Espace — un Essentiel pour libérer
Profitez du souffle originel pour vous libérer des schémas répétitifs. Oubliez la peur du vide et la tentation de le remplir. Inventez le présent que vous voulez offrir au monde.
Profitez du souffle originel pour vous libérer des schémas répétitifs. Oubliez la peur du vide et la tentation de le remplir. Inventez le présent que vous voulez offrir au monde.
Profitez du « j’aime » de l’Air pour vous retourner sur votre chemin et observer ce qu’il dit de vous. Cela vous plaît-il ? Continuez. Si ce n’est pas le cas, modifiez quelque chose.
La leçon du Feu complète celle de l’Eau. Ne détruis pas ce que tu peux transformer. À l’image des Polymorphes, modèle ta vie à ta guise, mais n’oublie jamais que le chemin que tu as tracé sera ton héritage, et qu’il t’accompagnera sans faiblir jusqu’au crépuscule de ton existence.
Accueillir l’Eau, c’est laisser circuler les émotions. N’en déplaise à tous les rois du contrôle, réduire le cadre n’empêche pas les débordements, il en augmente seulement l’amplitude.
Accueillez le « je suis » de la Terre. C’est votre origine et la mienne. La source du Moi, joueur et enthousiaste qui découvre le monde avec les yeux d’un enfant. Expérimentez, vivez, vibrez.
« Imaginez un espace vide. Prenez un instant pour observer ce que le vide crée en vous. Est-ce un inconfort, une peur ou un espoir ? Peu importe. Accueillez ce qui se présente. C’est votre ressenti, et il est précieux. Ne le mettez pas sous le tapis, il ressortira un jour ou l’autre. »
Il était une fois un petit rêve. Installé au plus profond de mon être, il avait mis des années à grandir. Il s’agissait de trouver un but à ma vie. De dépasser le métro (pas arrivé jusque chez moi) — boulot (des années à essayer des choses et d’autres pour dénicher ce qui me plairait) — dodo (que je recommande sans hésiter, car mes voyages nocturnes me font découvrir des contrées que je n’imaginais même pas).
Aujourd’hui j’ai envie de partager avec vous un petit outil qui peut changer le monde. Un petit truc dont on ne mesure pas assez la… Lire la suite »Commencez aujourd’hui à produire de la joie !
Il y a une quinzaine d’années, nous avons acheté avec mon mari deux tableaux dans une galerie locale. Ils nous avaient séduits par leurs couleurs,… Lire la suite »Le tableau qui a changé ma vie
Le processus était bien rodé. Tous les vingt ans, deux représentants de chaque cité-État étaient choisis par leurs concitoyens pour participer à cet évènement. Cette constitution serait la quatre-cent-quarante-quatrième depuis la fin de la guerre de Parosse. Si les discussions avaient été longues à la fin de la guerre avant d’arriver à un consensus, tous les callysthis avaient mesuré l’impact de ce nouveau fonctionnement. La garantie d’une constitution adaptée à l’évolution du monde, choisie par ses habitants. Ni par les citadins, les pêcheurs ou les commerçants, mais par l’ensemble des corporations et des sensibilités. Cela garantissait aussi la suppression au fur et à mesure des anciennes lois qui n’avaient plus de raison d’être. Pendant l’année qui allait s’écouler, chaque article de la constitution en vigueur serait reconsidéré, soupesé, décortiqué. Puis les nouvelles propositions verraient le jour, et commencerait alors la difficile synthèse jusqu’au texte final.